de 1971 .....

 

           .... à aujourd’hui

 

Devant la porte de Borchert. C’est autour de ce cri contre la guerre que ça a commencé, à l’automne 1971. « Ça », c’est-à-dire le Théâtre du Cri.

Près d'un demi-siècle après, où en sommes-nous ?

Nous en avons ouvert, des portes. Ou tenté d’en ouvrir. Il y a celles qui résistent et restent obstinément fermées. Celles, déjà ouvertes, que nous avons enfoncées, allègrement!  Celles qui ouvrent sur d’autres portes qui…

 

De porte en porte, nous voici en 2018, avec Stabat mater furiosa, de Jean-Pierre Siméon. De nouveau, un cri contre la guerre. Entre temps, il y en a eu d'autres, des cris. Mais aussi des rires. Et des larmes. Des émotions de toutes sortes, à travers des spectacles réalisés  soit avec le support de textes d'auteurs plus ou moins connus, contemporains pour la plupart; soit à partir d'adaptations de textes écrits par nous-mêmes: des "créations" (parfois collectives et issues de séances d'improvisation).

Ce sont plus de quarante spectacles que nous avons proposés, dans des formes diverses. À quoi s'ajoutent de nombreuses interventions dans toutes sortes de lieux et de circonstances. (voir site)

 

Avec nos moyens qui restent modestes, nous partageons l’ambition du poète Eluard :

                        Partir d’ici et de partout pour tout ailleurs

                        Ouvrir vraiment à l’homme une porte plus grande.

 

À l'homme... et à la femme : est-il besoin de le préciser ?